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Vous êtes vous déjà demandé pourquoi vous ne vous sentez pas aussi épanouie que vous le pourriez? Parfois nous avons « tout pour être heureuse », mais le sentiment de vide persiste. Les situations difficiles se présentent, nous devons y faire face, mais le désemparement souvent l’emporte.

Puis un jour, vous observez qu’une autre personne dans les mêmes circonstances conserve son sourire et une attitude objective, optimiste. La question que je me posais dans ces cas là était: « qu’est-ce qui cloche avec moi? »

Bien sûr, si vous avez la même question et tentez d’y répondre, fort est à parier que vos « défauts » refassent surface et que vous vous sentiez encore plus affligée. Alors vous pensez bien: « comment allez vous vous sentir avec de telles réponses? »

Aucune critique constructive ne pourrai en ressortir. Au mieux le surplace vous attend, au pire la régression vous guette. L’objet de cet article n’est pas de vous miner le moral, la vie offre déjà assez de challenges. Et ce serai une pure perte de temps et d’émotions. Alors je vous propose plutôt d’identifiez si l’un de ces obstacles entrave votre bonheur. Basés sur des recherches scientifiques, les résultats sont très enrichissants.

Nous sommes toutes différentes par notre façon de nous habiller, notre morphologie, nos traits de caractère, nos goûts. Mais une chose nous lie:

Nous sommes toutes à la recherche du bonheur, et du sentiment de sérénité.

Alors pourquoi n’y « arrivons-nous pas? ». Quels sont les poisons qui font barrière à notre bonheur? Quelles sont les nouvelles habitudes antidote à ces poisons? En lisant cet article, vous serez en mesure d’identifier

En modifiant certaines habitudes, vous constaterez un transformation dans votre attitude générale, mais aussi dans votre perception des difficultés et épreuves de la vie. Imaginez que vous ayez un saut à remplir. Que se passerai-t-il s’il était percé en différent endroits? Le poisons du bonheur sont comme les trous dans un saut. Et les antidotes, sont ce qui permet non seulement d’éviter les fuites, mais de remplir son saut d’une eau fraîche et pure.

Poison du bonheur 1 – Dévaloriser le bonheur

À la question « qui veux être heureux? » le « oui » est unanime. Mais dans les faits, les décisions que nous prenons et les actions que nous menons, il en est tout autrement. Les chercheurs ont voulu observer l’écart entre « ce que je pense qu’il serait bon de faire » et « ce que je fais » . Les résultats montrent que 98% des personnes pensent à l’action qui leur serait plus bénéfique, mais que 78% seulement vont agir dans ce sens. Ils ont sacrifié le bonheur pour l’acquisition d’autres choses.

À la question : « Un génie peut exaucer 3 de vos voeux. Lesquels sont-ils? », un nombre très faible demande le bonheur. Les voeux les plus demandés sont: l’argent, être recounu, le succès et de bonnes relations.

A chaque fois que nous devons prendre une décision (ce qui arrive plusieus fois par jour), nous avons ce dilemne « qu’est-ce qui est bon pour moi à cet instant? » et « qu’est-ce que je décide de faire? ».

Observez au quotidien dans quelles circonstances vous sacrifiez le bonheur au profit de plaisirs plus matériels ou sensoriels.

Habitude antidote 1 – Définir le bonheur et des activités qui y contribuent.

Pour inverser la tendance, définissez ce qu’est le bonheur pour vous. Avec une vision précise de ce que vous voulez, vous aurez moins tendance à rechercher d’autres sources qui ne sont que des leurres.
Trouvez ensuite des exemples concrets dans votre vie.

« Pour moi le bonheur c’est de savoir que tout est parfait tel quel. Ainsi, j’ai cette sensation d’abondance et de sécurité constante. Je peux alors me sentir légère et joyeuse tout en restant rationnelle et réaliste. »
Pour me sentir mieux, j’aime les balades en nature, regarder le ciel, les arbres, les oiseaux. Écouter de la musique, chanter et me rendre utile aux autres m’apporte aussi une tranquillité intérieure.

Poison du bonheur 2 – Volonté d’être supérieure aux autres

L’un des poisons les plus redoutables. Quand on se compare à « l’autre » et que nous voulons à tout prix être la première, la plus belle, la plus mince, la plus intelligente, la plus, la plus, la plus… Nous dépensons une énergie folle à tenter de faire dorer notre identité, ou celle que nous voulons asseoir. Nous voulons être vue d’une manière précise.

Cette attitude est basée sur la peur et cache un manque de confiance en soi. Ce poison peut être très sournois. Alors je vous invite à observer vos pensées quand vous vous sentez en danger en présence d’une autre personnes « plus que vous », mais aussi quand votre égo se gonfle quand vous critiquez les personnes « moins que vous ».

Habitude antidote 2 – S’accepter telle que l’on est et pratiquer l’auto compassion

L’antidote à ce poison est d’apprendre à s’accepter. En entier. Telle que l’on est. C’est simple à dire, j’en convient. Quand on s’accepte avec tous ses « défauts », le jugement disparaît. Comme on ne se juge plus, on fait de même avec « les autres », et par extension on ne donne plus de valeur au jugement des autres.

Mais comment faire? Donnez-vous autant que vous donneriez à votre meilleure amie ou la personne que vous aimez le plus. Je ne veux pas dire qu’il faille devenir égoïste, mais de remplir votre saut de la meilleure eau possible pour devenir une source de bienveillance et d’enrichissement. Donneriez-vous à boire de l’eau croupie à vos êtres aimés.

Poison du bonheur 3- Dans l’addiction ou la fuite relationnelle

Le but est de reconnaître, à cet instant présent, si ce poison vous empêche de construire des relations stables et authentiques avec les autres.
Être asocial révèle une peur des relations humaines proches et intimes. Sans rentrer dans la psychanalyse, il a été montré que cette peur prend racine dans l’enfance. La personne a tendance à se blinder émotionnellement pour éviter de se faire blesser et de ressentir la douleur.

La personne dans l’addiction à la présence des autres, affiche un manque de sécurité et ressent le besoin affectif de combler un vide.
La première évitera de s’ouvrir, et risque de ne jamais connaître l’ouverture du coeur ni l’amour inconditionnel, et la deuxième risque de se transformer en machine à culpabiliser les autres, et courir après toutes formes de satisfaction.

Habitude antidote 3 – Développer l’altruisme

Ces deux façons de se lier à l’autre sont compromises par le regard tourné principalement sur soi. La peur de perdre quelque chose l’emporte sur ce qu’il est possible d’apporter dans une situation. Faire preuve d’altruisme, ou développer cette qualité inhérente à l’être humain, permet de diminuer l’importance de sa propre image de soi et d’inclure l’existence des autres. de reconnaître que tout être humain a les mêmes peurs et besoins, que tous voulons être accepté par « l’autre ».

« Donnez ce que vous voulez recevoir ». Demandez-vous si vous donnez à l’autre l’espace d’exister tel qu’il est, et si vous contribuez d’une manière ou d’une autre à améliorer la vie des autres (ne serait-ce qu’en offrant un sourire sincère).

Les 4 autres poisons du bonheur et leurs antidotes feront partie d’un autre article. Prenez le temps de vous observer et de mettre en place ces premières habitudes si cela s’applique à votre expérience personnelle.

Et Vous, quels sont vos poisons? Comment pouvez-vous mettre en place de nouvelles habitudes? Quelles sont les stratégies que vous avez choisies?

Sérénité, Harmonie & Bienveillance